La psychologie du don : pourquoi les gens participent à un 50/50 ?

Dernière modification : 29 avril 2025

La psychologie du don : pourquoi les gens participent à un 50/50 ?

Vous lancez un tirage 50/50, vous partagez le lien, vous affichez un joli visuel… et vous croisez les doigts pour que les gens embarquent.

Mais qu’est-ce qui fait vraiment cliquer sur “acheter un billet” ?

Qu’est-ce qui fait que votre tirage déclenche une action, un sourire… un don ?

Spoiler : ce n’est pas juste une question de lot à gagner.

Participer à un 50/50, c’est un geste simple, mais chargé de sens. Il y a un peu de jeu, beaucoup d’émotion, et surtout : une envie de faire partie de quelque chose de plus grand.

Comprendre ce qui pousse quelqu’un à participer, c’est mieux communiquer, mieux mobiliser, et surtout, mieux récolter.

Et la bonne nouvelle ? Vous n’avez pas besoin d’un doctorat en psychologie. Juste de quelques clés pour parler à la bonne partie du cœur (et de la tête).

Dans cet article, on plonge dans les vraies raisons qui font dire aux gens : “J’embarque”.

Et on vous montre comment les toucher, les motiver… et les faire revenir. Let’s go

Le plaisir de donner… sans se ruiner

Un 50/50, c’est accessible. Le billet est souvent à 5, 10, parfois 20 $.

C’est un petit montant, mais une grande satisfaction : je contribue à une cause qui me touche, sans avoir à faire un gros sacrifice.

Et ça, c’est une des clés du succès : Un don qui passe inaperçu dans le budget, mais pas dans le cœur.

L’attrait du “je peux gagner”

Même si la cause est bonne, le petit frisson du “et si je gagnais ?” est bien réel.

Ce n’est pas une course à l’enrichissement, mais un plaisir de tenter sa chance tout en faisant quelque chose de bien.

Ce mélange d’altruisme et de jeu, c’est le moteur du 50/50.

Et plus la cagnotte grimpe, plus la magie opère.

Le sentiment d’appartenance

Un tirage 50/50, ce n’est pas juste “payer pour un billet”.

C’est rejoindre un mouvement, soutenir un projet local, faire partie d’un effort collectif.

Que ce soit pour une école, un club sportif, une fondation ou un festival, les gens veulent sentir qu’ils font partie de l’histoire.

Plus votre message met en lumière le “nous” plutôt que le “vous”, plus il crée du lien.

La cause d’abord, toujours

Avant même de parler du lot, parlez de la mission.

Ce que l’achat d’un billet rend possible.

Ce que la cagnotte va financer.

Ce que les participants vont construire avec vous.

On ne donne pas à un tirage. On donne à une cause.

Le tirage, c’est le prétexte. La cause, c’est le vrai moteur.

Le message qui touche

La psychologie du don, ce n’est pas une formule magique.

Mais ce sont des mots simples, sincères, qui font mouche.

Exemples efficaces :

  • “Chaque billet aide un jeune à pratiquer son sport.”
  • “Grâce à vous, on pourra offrir 100 repas de plus.”
  • “Un petit geste pour vous, un gros impact pour nous.”

Ajoutez une photo, une voix, une émotion… et vous verrez que l’impact sera autant dans les cœurs que dans la cagnotte.

Et après le tirage ?

La motivation ne s’arrête pas à la vente.

Les gens veulent savoir ce que leur geste a permis.

Prenez le temps de partager les résultats, de remercier, de montrer l’impact réel.

Et là, vous n’avez plus juste des participants.

Vous avez des gens qui reviendront… et qui en parleront autour d’eux.

Parlez à l’humain, pas au portefeuille

On ne vend pas un billet. On invite à faire partie d’un projet, d’un espoir, d’une solution.

Plus vous comprenez les vraies raisons qui poussent quelqu’un à participer à un 50/50, plus vous créez un message qui mobilise pour de vrai.

Et si vous avez une belle cause à raconter, on est là pour vous aider à la faire rayonner.

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Et transformez votre prochain tirage en une expérience qui rassemble… et qui rapporte.